Des dérives sectaires? Non

Nous partageons le constat évident :

les groupes où l’on impose un contrôle coercitif, des violences psychologiques ou physiques, l’endoctrinement des enfants, la coupure familiale et sociale, ou encore la soumission financière intégrale constituent des dérives graves et inacceptables.

Mais l’enseignement de M. Adam n’entre en rien dans ce cadre. Toute personne observant les faits avec un minimum de discernement peut le constater.

1. Rien en commun avec l’image médiatique des “sectes”

  • Pas de vie communautaire fermée : chacun vit chez soi, poursuit son travail et sa vie familiale.

  • Pas de pratiques étranges ou coercitives.

  • Pas de transferts financiers massifs : aucun don obligatoire, aucun abandon de patrimoine.

  • Pas de discours apocalyptiques ni d’isolement du monde.

  • Pas de retrait des enfants de l’école publique, pas de refus de l’emploi ni des impôts.
    Rien de cela. Au contraire, les témoignages et sondages démontrent la grande diversité sociale et professionnelle des participants (enseignants, médecins, artisans, entrepreneurs, parents de famille, etc.).

2. La grille officielle des “indicateurs de dérives sectaires”

Lorsqu’on examine un par un les critères définis par les institutions, aucun ne correspond à l’enseignement de M. Adam.

  • Emprise mentale : NON.

  • Rupture familiale : NON.

  • Abus financiers : NON.

  • Endoctrinement d’enfants : NON.

  • Discours haineux ou apocalyptique : NON.

3. La réalité vécue par les participants

  • Des adultes indépendants, qui choisissent librement de participer ou non.

  • Des activités purement associatives : réunions, initiations, rencontres régionales ou nationales.

  • Un fonctionnement volontaire, transparent et respectueux.

  • Une grande majorité de personnes qui participent occasionnellement, voire rarement.

4. Aucune pression, aucun embrigadement

Les centaines de témoignages concordent :

  • aucune obligation d’adhérer,

  • aucune contrainte de participer,

  • aucune sanction en cas de retrait.

Ces témoignages existent, mais ils sont ignorés par les discours accusateurs.

Qualifier cet enseignement de « secte » est une interprétation fausse, abusive et destructrice.

Elle ne repose sur aucun fait objectif mais alimente une suspicion infondée qui cause une souffrance considérable et un préjudice moral d’une ampleur irresponsable.

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