Comité de défense
Nous vous invitons à diversifier vos sources, à vérifier l’autorité des voix et la qualité des informations concernant M. Adam et ce procès.
Nous vous invitons à diversifier vos sources et à vérifier l’autorité des voix et la qualité des informations sur M. Adam et ce procès.
Formez votre propre opinion.
Ne vous laissez pas emporter par l’émotion au point de rendre un jugement irréversible qui pourrait conduire à l’incarcération d’un innocent (!!!) de 75 ans pour 15 années. C’est une question grave de conscience, et un verdict hâtif ne se corrige pas.
Les accusations portées ne reposent pas sur des faits, mais sur des interprétations infondées, marquées par des ressentiments personnels, des projections individuelles, des stratégies judiciaires ou une couverture médiatique sensationnaliste.
Face à cela, 170 témoignages sous serment, dont plus de 100 femmes, décrivent un cadre respectueux, libre et non sectaire. Parmi eux, une vingtaine de femmes, ancrées et établies dans leur propre vie à travers la France, témoignent en détail de relations intimes avec M. Adam. Ces relations, qu’elles aient duré quelques mois ou plus de vingt ans, ont toutes été vécues de manière consentie et bienveillante, apportant des bénéfices réels à leur chemin de vie. Aujourd’hui encore, ces femmes ne vivent ni sous son « contrôle », ni dans une quelconque dépendance : elles sont restées amies, collègues, femmes libres, chacune bien ancrée dans sa vie familiale, professionnelle et sociale partout en France. Preuve que l’idée « d’adeptes naïves sous emprise » ne correspond pas à la réalité factuelle.
En droit comme en science, une « emprise » ne se décrète pas collectivement. Les repères juridiques et psychologiques interdisent d’affirmer qu’une centaine de personnes libres, venant seulement quelques week-ends par an, auraient toutes été « sous emprise ».
Il mérite également d’être rappelé que certains plaignants présentent des parcours marqués par des enfances fort violentes et traumatisantes, des croyances particulières, une quête affective de figures parentales, des projections idéalisées sur M. Aam puis inversées en jugements négatifs. Ces éléments de contexte doivent être pris en considération pour apprécier la nature et la portée de leurs accusations.
Beaucoup d’accusations reposent sur des interprétations excessives : des pratiques de yoga décrites comme un « affaiblissement de l’esprit », des repas équilibrés présentés comme une « privation », ou encore le simple fait de s’asseoir dans un fauteuil assimilé à une « mise en scène de supériorité ». Ces récits ne résistent pas à l’examen. Les faits sont sobres, conformes au bon sens et reflètent des pratiques ordinaires que l’on retrouve partout en France.
Nous vous invitons à quitter le registre des récits fantaisistes – vidéos YouTube, musiques de films d’horreur, images de « sorcier » ou slogans comme « gourou sexuel » – qui n’apportent rien à la vérité.
